26 juillet, pour une humanité plus fraternelle, l’Espéranto vaut bien les Jeux olympiques

26 juillet 2024, à Paris, c’est le début des Jeux olympiques. Les discours officiels s’épanchent sur les « principes de l’olympisme », la non-discrimination, la durabilité, l’humanisme, l’universalité, la solidarité…
Or des athlètes de divers pays ou territoires sont exclus des délégations officielles ou déclarés indésirables par quelques politiciens ou organisations. En France, les installations olympiques ont été construites par des entreprises faisant appel à des sous-traitants en cascade, en employant beaucoup de main d’œuvre en situation irrégulière. Par mesure de sécurité, diverses personnes ont été assignées à résidence, une vidéosurveillance exceptionnelle a été installée et risque de devenir pérenne. La devise « Plus vite, plus haut, plus fort » ne concerne pas les Parisiens, coincés par les restrictions de circulation.

26 juillet 1887, à Varsovie, c’était la publication du livre « Langue internationale », qui ouvrait la porte d’un humanisme mondial sans discrimination.
Cent trente-sept ans avant les Jeux olympiques de Paris, un médecin ophtalmologue nommé Zamenhof a jeté les bases d’un outil de communication équitable entre personnes d’origine différente. Depuis cent trente-sept ans, la langue internationale Espéranto se développe, et permet, sur tous les continents, de parler à égalité, et de mettre la fraternité en pratique.
« Plus vite, plus haut, plus fort »  : l’espéranto peut être appris beaucoup plus vite que les autres langues, il vise à une plus haute communication, à une cohésion plus forte entre tous les membres de la famille humaine.
Le 26 juillet, c’est la journée mondiale de l’Espéranto.