Derniers articles

Le parti Europe Démocratie Espéranto apporte son soutien au vigoureux mouvement de défense du service public de l’information qui s’exprime actuellement. Le bon fonctionnement d’une information impartiale et indépendante à l’égard des grands groupes capitalistes ou autres assure la qualité du débat public et est un droit fondamental des citoyens.
Ceux-ci veulent défendre pareillement leur langue nationale, qui permet la communication entre tous, face au rouleau compresseur du tout-anglais qui n’est (...)

Le musée du Bardo à Tunis raconte l’histoire de la Tunisie et de ses relations avec le monde depuis plusieurs milliers d’années. Il raconte l’histoire de l’humanité.
L’attentat du 18 mars dernier a tué une vingtaine de personnes. Il a visé ce témoignage racontant notre histoire.
Après l’attentat meurtrier, Europe-Démocratie-Espéranto se joint à tous ceux qui veulent continuer à agir pour garder la mémoire de l’humanité.
Ni estas Bardo. (...)

Plusieurs des dessinateurs assassinés de Charlie-Hebdo avaient soutenu la pétition pour l’espéranto au bac : la liberté d’expression passe par la langue, passe par le stylo, passe par le crayon.
Après l’attentat meurtrier, Europe-Démocratie-Espéranto se joint à tous ceux qui veulent continuer à agir comme Charlie, pour une société plus libre et plus tolérante.

Lettre ouverte à M. François Hollande, Président de la République Française
Pour des économies indolores, justes, efficaces et innovantes.
Monsieur le Président de la République,
Depuis le début de votre mandat, vous indiquez que votre but est d’effectuer de vraies réformes, en profondeur, et utiles à long terme. Faire de telles réformes est difficile, et le 30 septembre dernier, lors de la remise du prix de l’Audace Créatrice1, vous avez déclaré qu’il n’y a pas d’économies indolores, et que (...)

L’Union européenne ne peut accepter les compromis des dirigeants avec les multinationales
Depuis la diffusion d’informations sur les privilèges fiscaux d’entreprises au Luxembourg, au début de novembre 2014, la position de M. Juncker à la tête de la Commission européenne est contestée. Le nombre des entreprises qui en ont bénéficié est trop grand pour être repris ici, mais l’intermédiaire unique a été le cabinet de conseil PwC (PricewaterhouseCoopers). Un résumé de l’affaire peut être trouvé sur le site (...)